Foire aux questions

Avec un bassin en inox, l’eau serait-elle bleue ?

Ce n’est pas le revêtement du bassin qui donne la couleur bleue à l’eau, c’est l’eau ! La preuve est que la plupart des piscines municipales sont carrelées en blanc. Plus il y d’eau et plus c’est bleu. Il faut alors reconnaître qu’une pataugeoire n’est pas bleue, mais elle ne l’est pas non plus avec du carrelage et puis, est-ce un souci pour l’utilisateur ? Les réponses que l’on obtient auprès des parents dans des installations équipées de pataugeoires en inox sont, en général, très positives et orientées sur l’impression de propreté et d’hygiène qu’apporte l’inox. Les enfants eux, sont plus occupés par les jeux qui y sont installés que par la couleur de l’eau.
A partir de 40 à 50 cm de profondeur le bassin devient bleu.

La tôle serait-elle froide ?

C’est le contraire. La tôle étant très conductrice, elle prend la chaleur de l’eau.

La tôle est-elle brûlante au soleil ?

C’est vrai si le bassin est vide. Ça ne l’est pas lorsqu’il est en eau car la tôle étant très conductrice, elle prend la chaleur de l’eau.

Il existe déjà 2 centres aquatiques équipés de bassins extérieurs en inox au Nigéria et beaucoup sont déjà construits dans des pays dont le taux d’ensoleillement est supérieur à celui de la France. Nous avons d’ailleurs construits plusieurs centres aquatiques de plein air sur l’île de la Réunion.

Un bassin en inox peut-il attirer la foudre ?

Il n’y pas de raison à cela. Un bassin en inox ne présente que très peu d’éléments hors d’eau. S’il venait à être frappé, sa conductivité et son raccordement direct avec le sous-sol permettraient peut être même de conduire le courant plus rapidement dans le sol. Nous équipons de toute façon nos bassins d’une mise à la terre.

Un bassin en inox serait-il plus cher ?

Cette question ne peut recevoir de réponse catégorique. Prenons par exemple le cas de la réhabilitation qui peut rendre un projet viable alors qu’il ne le serait pas s’il y avait obligation de démolir les bassins pour le reconstruire.
Il y a également le cas du projet à construire sur du mauvais sol. Alors qu’un bassin en béton nécessite de nombreuses fondations spéciales (colonnes ballastées, pieux…) le bassin en inox permet l’économie du radier et de ses fondations.
Il y a encore le cas du bassin construit en pleine terre. Qu’il soit couvert ou de plein air, le bassin en inox dans lequel toutes les canalisations peuvent être ramenées à une de ses extrémités, permet l’économie de galeries techniques. Le coût global est alors réduit de la partie génie civil du sous-sol. De manière quasi unanime, les utilisateurs apprécient le côté design, l’impression d’hygiène, la chaleur et la surface lisse de la tôle, les variations de couleurs de l’eau au gré des changements de temps et d’intensité lumineuse. Les choix de l’architecte sur les entrées de lumière dans le cas des bassins couverts sont déterminants.

Faut-il prévoir des travaux de réfections réguliers ?

Un bassin en inox bien réalisé ne demande pas de réparation et ne coûte qu’un nettoyage régulier. S’il peut être plus cher lors de la construction, il assure tranquillité et réduction des coûts de maintenance durant plusieurs décennies. Un bassin en inox n’engendre donc pas de travaux de réfection, même après 30 ou 40 ans contrairement aux autres systèmes dont les travaux sont à prévoir au minimum tous les 10 à 15 ans.

Quelle est la longévité d'une coque en inox ?

L’inox ne se dégrade pas dans le temps. La longévité d’une coque en inox 316L ne peut être qu’évaluée puisqu’à ce jour des bassins de plus de 50 ans fonctionnent encore sans problème et le feront encore certainement durant plusieurs décennies. Les premiers bassins en inox datent de 1968 et la plupart sont encore en fonction.